Les confessions de l'empereur Napoléon : petit mémorial écrit de sa main à Sainte-Hélène, parvenu en Angleterre, traduit et publié chez John Murray, à Londres... (1818) / traduit sur le texte anglais... et augmenté de notes par Halbert d'Angers, suivies d'une notice historique sur le duc de Reichstadt.
Date de l'édition originale : 1863
Ces confessions auraient été écrites par l’Empereur contraint à l’exil en 1816 après les Cent-Jours, alors qu’il est gardé par les Anglais sur l’île de Sainte-Hélène de laquelle il ne s’échappera pas, et ce jusqu’à son dernier souffle le 5 mai 1821. À la première personne, cet ouvrage apporte un regard rétrospectif sur l’œuvre de Napoléon, de l’enfance à la déchéance, en passant par la Révolution, l’Empire et la Restauration, faisant par là même étalage de sa détestation pour les Bourbons. Cette édition est enrichie de quelques notes et d’une notice sur le fils de l’Empereur, le duc de Reichstadt et roi de Rome ; elle serait issue d’un manuscrit de Napoléon qui, bien que disparu, aurait été publié en anglais, à Londres en 1818, avant d’être traduit en français par Halbert d’Angers en 1863. Le Second Empire et le règne de Napoléon III, lui aussi « Empereur de tous les Français » ne sont pas étrangers à de nombreux récits élogieux de Napoléon Ier et à la réédition de ses confessions.
D’après l’historien Édouard Driault, il s’agirait d’un formidable pastiche d’abord attribué à un certain Lullin de Châteauvieux, composé en fait par un cercle littéraire sous la conduite de Madame de Staël, alors en Suisse. La plume de Napoléon est-elle pour autant totalement absente de ces confessions ? L’ouvrage lui aurait été envoyé sur l’île de Sainte-Hélène et, malgré des erreurs relevées, Napoléon aurait déclaré : « C'est un ouvrage qui marquera et qui fera époque ».
L’histoire étonnante de ce texte prouve une fois de plus la fascination que l’Empereur suscita, y compris après sa mort, et ce même auprès de ses opposants les plus virulents.
Ce livre est la reproduction fidèle en fac-similé d'une œuvre numérisée par la BNF et imprimé à la demande par Hachette Livre.
Les œuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d’une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d’un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d’un confort de lecture optimal.
Nous espérons que les ouvrages de cette collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Date de l'édition originale : 1863
Ces confessions auraient été écrites par l’Empereur contraint à l’exil en 1816 après les Cent-Jours, alors qu’il est gardé par les Anglais sur l’île de Sainte-Hélène de laquelle il ne s’échappera pas, et ce jusqu’à son dernier souffle le 5 mai 1821. À la première personne, cet ouvrage apporte un regard rétrospectif sur l’œuvre de Napoléon, de l’enfance à la déchéance, en passant par la Révolution, l’Empire et la Restauration, faisant par là même étalage de sa détestation pour les Bourbons. Cette édition est enrichie de quelques notes et d’une notice sur le fils de l’Empereur, le duc de Reichstadt et roi de Rome ; elle serait issue d’un manuscrit de Napoléon qui, bien que disparu, aurait été publié en anglais, à Londres en 1818, avant d’être traduit en français par Halbert d’Angers en 1863. Le Second Empire et le règne de Napoléon III, lui aussi « Empereur de tous les Français » ne sont pas étrangers à de nombreux récits élogieux de Napoléon Ier et à la réédition de ses confessions.
D’après l’historien Édouard Driault, il s’agirait d’un formidable pastiche d’abord attribué à un certain Lullin de Châteauvieux, composé en fait par un cercle littéraire sous la conduite de Madame de Staël, alors en Suisse. La plume de Napoléon est-elle pour autant totalement absente de ces confessions ? L’ouvrage lui aurait été envoyé sur l’île de Sainte-Hélène et, malgré des erreurs relevées, Napoléon aurait déclaré : « C'est un ouvrage qui marquera et qui fera époque ».
L’histoire étonnante de ce texte prouve une fois de plus la fascination que l’Empereur suscita, y compris après sa mort, et ce même auprès de ses opposants les plus virulents.
Ce livre est la reproduction fidèle en fac-similé d'une œuvre numérisée par la BNF et imprimé à la demande par Hachette Livre.
Les œuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d’une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
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